Saison 2.11 - 2000 - 2006 : Les partenaires BI d'AUSY

 

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Chez les éditeurs de logiciel, dans le domaine de la BI, il y avait vraiment le choix. D’abord les sociétés de logiciels d’alimentation appelés ETL (Extract Transformation Load) et ils ne sont pas tous cités : Ascential Software (et le logiciel DataStage), Business Objects (et BO), Cognos (et Decision Stream), Informatica (et PowerCenter, PowerMart), Hummingbird (et Genio), Hyperion, SAS Institute (et SAS/Access), Sunopsis.

Ensuite les logiciels de requête et de reporting, ainsi que les outils d’analyse multidimensionnelle avec les mêmes éditeurs et des logiciels différents : Business Objects (BO et WebIntelligence), Cognos (Impromptu, Powerplay), Hummingbird (Bi Query), Hyperion (Essbase), Informatica (Power Analyzer), SAS Institute (Enterprise Guide, Enterprise Miner) et quelques autres : HarrySoftware (HarryPilot, HarryCube), Microstrategy (Microstrategy Olap Services), Oracle (AOS ancien Express).

Ils feront tous l’objet d’une étude, Alann en a retrouvé les traces.

L’offre BI d’AUSY sera construite avec quatre d’entre eux : Ascential Software (ETL), Hummingbird (ETL), Business Objects (Reporting), et SAS Institute (OLAP et Reporting).

Le partenariat AUSY - Ascential (Extraits) :

STARTER KIT DATASTAGE Partenariat signé en 2000 et renouvelé en 2004. Logiciel DATASTAGE  sur plate-forme AUSY Windows NT.

Toutes les Entreprises travaillent aujourd'hui sur la construction de leur environnement Décisionnel, véritable colonne vertébrale du nouveau Système d'Information.

Le Système d'Information Opérationnel (SIO) s'enrichit maintenant du Système d'Information Décisionnel (SID) afin de proposer à tous les acteurs de l'entreprise : décideurs, analystes, opérationnels, les informations pertinentes les concernant, élément incontournable d'aide à la décision adapté à la problématique d'affaires propre à chacun.

AUSY France a signé un partenariat avec Ascential, leader sur le marché de l’intégration de données, société proposant des solutions novatrices, indépendantes des constructeurs et des éditeurs Bases de données, adoptées par plus de 2300 clients à travers le monde. Ces solutions permettent aux entreprises d’optimiser leurs capacités d’analyses stratégiques et de gagner en compétitivité.

Ce partenariat s’est concrétisé par le démarrage de projets Data Warehouse intégrant la suite décisionnelle DataStage auprès de plusieurs grands comptes clients d’AUSY France dans le domaine du crédit, ou des télécommunications.

La suite décisionnelle DataStage d’Ascential permet l’automatisation des infrastructures de gestion de l’information pour les systèmes décisionnels, les applications analytiques et les solutions de commerce électronique.

Extrait des Références :

RATP : Assistance et support Datastage au sein de l’équipe infocentre chargée de la gestion des données RH et des reporting.

General Electric : Projet Gestion des risques : Mise en œuvre d’une solution ETL. Prototypage de l’interface d’alimentation. Développement avec le logiciel Datastage

Wanadoo Belgium : Analyse et Implémentation du 'Corporate Datawarehouse' et mise en place du e-portail analytique  permettant l'exploitation des données.

D’où vient Ascential ? Histoire à épisodes comme souvent lorsque nous parlons de sociétés de logiciels BI. Petite enquête pour fixer les évènements.

Il faut d’abord parler d’Informix Software (INFORMation sur unIX) créée en 1981, entreprise de logiciels qui a vendu des produits de base de données, des logiciels de bureau et des outils de développement, et des produits d’intégration de l’information de 1980 à 2005, devenant ainsi une entreprise d’environ 1 milliard de dollars. En 1986, Informix était devenue assez grande pour lancer une introduction en bourse réussie, et changer son nom en Informix Software.

En mars 2000, Informix fait l’acquisition d’Ardent Software. Cette acquisition a donné à Informix un petit ensemble croissant de logiciels ETL (Extract Transform and Load) et d’autres produits d’intégration de l’information, ces derniers étaient la cible d’acquisitions dans un segment de marché en forte croissance.

En avril 2001, IBM a négocié avec Informix l’achat de la base de données. Sous l’impulsion d’une suggestion de Wal-Mart (un géant  de la grande distribution aux Etats Unis), l’un des plus gros clients d’Informix, IBM a acheté à Informix la technologie de base de données, la marque, les plans de développement futur (un projet interne nommé "Arrowhead") et la clientèle (plus de 100000 clients) associés à ces éléments. L’entente a pris fin le 1er juillet 2001. Environ 2 000 employés d’Informix ont été mutés chez IBM dans le cadre de l’entente.

Les actionnaires d’Informix ont approuvé cette opération, qui a apporté 1 milliard de dollars en liquidités à la société restante, beaucoup plus petite, qui avait l’intention de se concentrer sur l’ETL à forte croissance et l’espace d’intégration de l’information, dominé à l’époque par Informatica. La société s’est rebaptisée Ascential Software.

En mai 2005, IBM finit par acheter Ascential, regroupant tous les actifs d’Informix dans le portefeuille de logiciels de gestion de l’information d’IBM. La transaction a payé 1,1 milliard de dollars aux actionnaires d’Ascential, mais IBM a pris le contrôle de 481 millions de dollars en espèces qu’Ascential avait conservés de la vente d’Informix. Les actionnaires ont reçu 18,50 $ l’action, soit une prime de 15 % par rapport à la clôture précédente de 15,70 $. (Source Wikipedia).

Belle opération boursière !! Les prémisses de grandes manœuvres dans le monde du logiciel dont nous parlerons bientôt !

Le partenariat AUSY - Hummingbird (Extraits)

Contrat de licence signé en 2003 et renouvelé en 2004.

Logiciel GENIO V5.4 PC INTEL – Windows NT4 / UNIX.

Entrant dans la famille des outils d' ETL (Extraction transfer loading),  l'application GENIO a été conçue pour extraire des informations stockées sur divers systèmes d'entreprise tels que des plates-formes d'ERP ou de CRM afin d'alimenter des entrepôts de données de type data warehouse ou data marts. Une architecture qui s'applique aux problématiques de business intelligence.

Hummingbird développe des solutions logicielles d'entreprise qui permettent d'accéder à toutes les informations et ressources stratégiques, agrégées et classées par catégories, via une interface utilisateur unique.

Hummingbird propose ces solutions sur l'ordinateur de bureau et sur le Web via Enterprise Portal Suite, le cœur des solutions e-Business de Hummingbird. Cet environnement intègre les technologies éprouvées de la société en matière d'accès aux systèmes hôtes, d'intégration des données, de reporting et d'analyse, ainsi que de gestion des documents et des connaissances. Hummingbird propose ses solutions et les prestations de conseil, de formation et de support associées dans plus de 50 pays.

Extrait des Références :

La Mondiale à Lille : Projet de migration et de qualification de données des adhésions participants de l’IRCI-NORD, caisse de retraite du groupe Vauban.

Caisse de retraite MV4 à Orléans : Assistance technique autour du logiciel Genio.

Un peu d’histoire sur Hummingbird, mais beaucoup plus courte que celle d’Ascential.

Créée en 1984 à Toronto, Ontario, CANADA, Hummingbird a fait de nombreuses acquisitions et surtout dans le domaine de la BI  :

         en 1998, acquisition des solutions de veille stratégique, Andyne Computing Ltd.

        en 1999, acquisition de Leonard’s Logics SA, de Paris, France, fabricant de Genio, un outil de transformation et d’échange de données (ETL) pour le déploiement des data marts.

En 2003, plus de 15 ans d’expérience dans le développement de logiciels d’entreprise, une présence dans plus de 50 pays, plus de 1300 collaborateurs, 40 000 clients, 5 millions d’utilisateurs dans le monde, un investissement annuel en R&D de 30 Millions USD, et membre du club des 50 premiers éditeurs mondiaux depuis 1999.

Cotée en bourse au  NASDAQ (HUMC) & TSE (HUM).

Hummingbird en France en 2003 :

      Plus de 1500 clients,

      Trois divisions commerciales, un support européen 1er et 2nd niveau, des consultants experts produits, une équipe pour la formation,

      Un chiffre d'affaires 2002 de 21 M€,

      Précurseur sur le marché de l ’ETL (outil commercialisé depuis 1996).

Positionnement de Genio en France : Plus de 380 clients.

En 2006, acquisition de Hummingbird par Open Text pour 489 millions de dollars.  

Hummingbird a informé la Texas Guaranteed Student Loan Company qu’elle avait perdu une pièce d’équipement — bien que protégée par mot de passe — contenant les données personnelles non chiffrées (noms et numéros de sécurité sociale) d’environ 1,3 million de bénéficiaires de prêts étudiants au Texas. Le conseil d’administration de la société a accepté d’être vendu à Symphony Technology Group, mais à la suite d’une offre hostile de Open Text, le conseil a négocié une entente avec son rival et a accepté un rachat de 489 millions de dollars américains en espèces de Open Text. Après la clôture de l’accord en octobre, Open Text a annoncé une réduction de 15 % de la main-d’œuvre mondiale. (Source Wikipedia).

  

Le partenariat AUSY - Business Objects (Extraits)

Partenariat signé en 2000 et renouvelé en 2004.

Suite Logiciels BO sur plate-forme AUSY Windows NT.

Business Objects est le leader mondial des fournisseurs de solutions de business intelligence (BI). Business Objects permet aux entreprises de suivre, comprendre et piloter leurs performances. Ses solutions exploitent les informations stockées dans toutes les bases de données, ainsi que dans les systèmes ERP et CRM de l'entreprise.

Les utilisations les plus répandues de la BI couvrent le reporting d’entreprise, les tableaux de bord, les applications d’intelligence client, de reporting financier, ainsi que les extranets clients et partenaires. Ces solutions permettent aux sociétés d'avoir une visibilité sur leur activité, d'acquérir et de retenir des clients rentables, de réduire leurs coûts, d'optimiser leur chaîne logistique, d'accroître leur productivité et d'améliorer leurs performances financières

Extrait des Références :

Wanadoo Belgium  : Analyse et Implémentation du 'Corporate Datawarehouse' et mise en place du e-portail analytique  permettant l'exploitation des données. Le datawarehouse mis en place couvre les aspects sales, marketing, finance, service center et processus d'activation.

Logiciels utilisés : BI Business Objects, ETL Datastage, entrepôt de données Redbrick warehouse, Base de données  Informix.

Deutsche Bank : Implémentation d'une solution de gestion et de publication automatique des fonds de la banque sur le site internet de la banque ( www.db24.be )

Logiciels utilisés : BI Business Objects, Base de données  SQL serveur 2000, Langage de programmation    VB 

Banque Bruxelles Lambert : La BBL est membre du groupe ING.

Implémentation d'un datamart en "credit risk management" ainsi que de la plate-forme de reporting permettant la création des rapports officiels de la BNB et du groupe ING.

Logiciels utilisés : BI Business Objects, Base de données Oracle.

Il est important, à ce stade, de s’arrêter sur Business Objects, et de lire l’article d’Emmanuel Paquette publié en 2000. Cet article raconte l’histoire de BO avec beaucoup d’anecdotes.  

C'est magnifique ! " Le compliment avait été lancé par Business Week à l'adresse de l'entreprise française Business Objects au début de l'année 1996. Sacrés entrepreneurs de l'année par le magazine américain, les fondateurs Denis Payre et Bernard Liautaud ont vécu une success story à l'américaine. Mieux, ces deux dernières années, la société est entrée au palmarès des dix premières valeurs du secteur des nouvelles technologies publié par le New York Times. Cette année, elle s'adjuge la première place du classement de l'entreprise de la décennie réalisé par L'Expansion, HEC et le cabinet Bain & Company. 

L'histoire débute à la fin des années 80, quand les deux hommes se rencontrent au sein d'Oracle, le groupe américain leader mondial des bases de données. A l'époque, tous deux sont fascinés par les succès de Larry Ellison, leur PDG, ou de Steve Jobs, fondateur d'Apple, dans le monde de l'informatique ; tous deux rêvent d'une entreprise à la mesure de leur ambition. Mais il leur manque la technologie de leur rêve, lorsque le hasard, en la personne d'un ingénieur du nom de Jean-Michel Cambot, vient se présenter à leur porte. 

L'idée de cet ingénieur est simple : la création d'un moteur permettant d'extraire des informations des immenses bases de données qui coexistent dans les serveurs des entreprises. Si l'idée séduit les deux compères, elle n'emporte pas la même adhésion au sein d'Oracle-France. Les deux cadres, âgés alors de 27 ans, tentent le tout pour le tout et quittent leur société pour se lancer dans la grande aventure. 

" Nous avons réussi à lever 5 millions de francs, soit 1 million de dollars, au début de l'année 1991, se rappelle Bernard Liautaud, aujourd'hui président de Business Objects. Il nous a fallu six mois pour boucler ce premier tour auprès d'investisseurs tels que Partech International, Innovacom et un groupe d'investisseurs américains constitué de ventures capitalists privés ainsi que des responsables d'Oracle. La situation était assez difficile, car c'était l'époque de la guerre du Golfe, et le marché était assez attentiste. " 

Après avoir trouvé leur financement, les deux hommes se tournent vers les Etats-Unis et le rêve américain. Et, en moins de deux ans, la société réussit l'exploit d'atteindre son seuil de profitabilité. " Quant à l'ingénieur Jean-Michel Cambot, il a quitté Business Objects dans les premières années du succès de la société, ajoute Bernard Liautaud. Il s'est installé à Montpellier avec sa famille pour y développer des logiciels sous le nom de Baliciel. " 

" Nous avons péché par excès de confiance " 

Pendant ce temps, les bons résultats s'enchaînent et se concrétisent par une introduction sur le Nasdaq, le marché new-yorkais des valeurs informatiques, au mois de septembre 1994. Business Objects lève ainsi 30 millions de dollars et continue son ascension vertigineuse. 

Pourtant, comme le note Yves Leven, analyste chez Aurel Leven, l'histoire de la société ne s'est pas déroulée sans quelques aléas. " Business Objects a connu une période importante au cours de sa jeune existence. Il y a eu l'avant-1996 et il y a eu l'après. " Cette année-là, la société lance sur le marché la version 4 de son logiciel, adaptée aux plates-formes 32 bits comme Windows 95 et Windows NT de Microsoft. " Le produit est sorti trop tôt, raconte Yves Leven. Il n'était pas tout à fait opérationnel. En outre, beaucoup d'entreprises n'avaient pas encore les nouvelles plates-formes Windows. Résultat : certains clients abandonnent la société, et le chiffre d'affaires du second semestre est très inférieur aux attentes du marché. En un an, l'action perd plus de 87 % de sa valeur. " 

Dans le même temps, un contrat est enregistré dans les comptes en Allemagne, alors qu'il n'a pas été signé dans les faits. Le cadre responsable de l'incident est licencié. Plus tard, à la fin de l'année, Denis Payre décide de quitter l'entreprise pour lancer sa propre société de capital-risque, la Payre Family Holding. " Nous avons péché par excès de confiance, se souvient Jérôme Jaunasse, directeur général des opérations pour la France. Nous étions trop en avance par rapport à l'accueil du marché pour Windows 95. Nous avons fait une faute par excès de précipitation. " 

Un des premiers éditeurs à se tourner vers le Web 

Cette " crise d'adolescence " a contribué à renforcer la société et l'a fait mûrir. Et, depuis cette mésaventure, son chiffre d'affaires est en constante progression : de plus de 85 millions de dollars en 1996, il est passé à 241 millions de dollars en 1999. Dans le même temps, le résultat net de la société a bondi de 5,1 à 23,8 millions de dollars. " Nous avons su rebondir à la suite de ces problèmes, ajoute Pierre-Michel Peugnet, vice-président des finances pour l'Europe-Asie-Pacifique. Pour preuve, sur nos douze derniers trimestres, nous avons enregistré des taux de croissance de 45 % de notre chiffre d'affaires. " 

Après avoir surmonté ces déconvenues, la société doit vite faire face à un nouveau défi à la fin de l'année 1997 : l'irruption d'Internet. Confinées jusqu'alors aux entreprises, les solutions apportées par Business Objects ont dû évoluer vers les intranets, les réseaux privés d'entreprise et les extranets, réseaux reliant l'entreprise à ses différents interlocuteurs commerciaux. " Business Objects fut parmi les premiers éditeurs à se tourner vers le monde du Web, se souvient Alain Pétrissans, analyste senior pour International Data Corporation (IDC). Ils ont sorti leur produit pour les extranets d'entreprise il y a un an en ouvrant la voie aux clients "légers", téléphones mobiles ou agendas électroniques. " Si la finalité des solutions reste la même ­ permettre l'accès, l'analyse et le partage des informations ­, elle doit désormais intégrer non seulement l'entreprise, mais aussi la globalité de son environnement (ses clients, ses partenaires et ses fournisseurs) via le Web : c'est l'e-Business Intelligence, un concept inventé et déposé par la société en 1998. " L'objectif de Business Objects est de devenir le leader incontesté sur ce créneau qui est en pleine expansion. Et tous nos axes de développement tournent aujourd'hui autour des intranets, des extranets et de l'accès à ces réseaux grâce à des terminaux sans fil ", ajoute Bernard Liautaud. 

Aujourd'hui, si la société est leader sur le marché européen, d'autres entreprises telles que Cognos, SAS Institute ou Oracle se présentent comme des concurrents sérieux du géant français. 

Un sigle pour résumer les valeurs de l'entreprise 

Parallèlement, l'entreprise a réussi son introduction sur le marché financier français. La société n'est entrée au règlement mensuel de la Bourse de Paris qu'en novembre 1999, alors que 60 % de son chiffre d'affaires sont réalisés en Europe. " Notre réussite repose sur nos valeurs incarnées dans le sigle LCT2IP, ajoute Pierre-Michel Peugnet. L pour Leadership, C pour Customer Focus (centré sur le client), T pour Transnational Identity (identité transnationale), 2I pour Innovation et Integrity, et enfin P pour Passion. " Un sigle que l'on retrouve au dos des cartes de visite des salariés de l'entreprise. Comme quoi, après dix ans, on peut encore être jeune et avoir déjà une solide culture d'entreprise.  

 

Le partenariat AUSY – SAS (Extraits)

SILVER PARTNER

Partenariat signé en 2003 et renouvelé en 2004.

Logiciel SAS V8 sur plate-forme AUSY Windows NT.

SAS, leader de la business intelligence et des applications analytiques, a intégré AUSY a son réseau Alliance en tant que partenaire Silver début février 2003.

Ausy dispose d'ores et déjà d'un pôle de compétences Business intelligence constitué de consultants possédant le savoir-faire SAS.

Ce partenariat s'articule autour de deux domaines d'expertise principaux, pour lesquels SAS apportera toute la puissance de ses solutions décisionnelles :

         le CRM analytique pour des applications marketing, commerciales et de scoring,

         les systèmes de pilotage et l'approche datawarehouse,

et a pour objectif d'être présent dans plusieurs secteurs d'activités comme la banque et l'assurance, l'industrie, les télécoms et le secteur public.

La très large implantation de Ausy sur le territoire national permettra aux clients communs des deux partenaires de bénéficier de prestations de proximité, ce qui ne pourra que favoriser la réussite de l'intégration de leurs solutions.

Extrait des Références :

ANPE : Projet SIAD de suivi des résultats et d’évaluation de l’efficacité des actions de l’ANPE. Les outils de reporting sont mis en œuvre avec la technologie SAS

France Telecom : Sur applications DATAMART Traffic et PAD, apport d’expertise technologie SAS 

ING : Développement et intégration de processus d’extraction faisant appel à des modules SAS.

SAS a déjà été présenté dans les chapitres précédents. Arrêtons-nous plutôt sur l’une des missions phares réalisées par AUSY : le projet SIAD à l’ANPE. Alann devra questionner son grand-père pour en connaître les détails.

Voilà maintenant 14 mois qu'Alann travaille sur son histoire, ... enfin l'histoire de son grand-père. Il a démarré son enquête en janvier. Tout a commencé sur le port de Vannes. Vannes personnage central des Chroniques BI parmi une galerie bien hétéroclite. Il a remonté le temps jusqu'en 1983 année du premier emploi raconté par son grand père. Et les années ont défilé : 1984 la première mission chez Procter & Gamble, 1989 une journée mémorable en Champagne, 1990 le développement des sociétés de la BI, 1995 la connexion avec l'Université de Bretagne Sud et le projet SIGP chez France Telecom 

En 1995, deux mondes venaient de se rapprocher, le monde de l’université et le monde des entreprises privées. C'était l'époque du Forum EIS qui réunissait tous les acteurs de la BI. Juste avant l'arrivée des orpailleurs en 1999 ! Alann vient de terminer la Saison 1 des Chroniques. Il démarre la Saison 2.

 

 

 

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